Comment ça marche – Feuilleter le magazine – Fleurus Presse - (Page 3)

DITO É est édité par Fleurus Presse SARL au capital de 49 783,11€ Directeur de la publication : Jean-Martial Lefranc. Comité de direction : Jean-Martial Lefranc, Pascal Teulade, Patricia Notarianni. Directrice commerciale : Nicole Rollin. Relations abonnés : 01 75 43 35 42, depuis l’étranger (33) 1 75 43 35 42 (9H00 – 18H00) relation.abo@fleuruspresse.com. Rédaction : 34, rue du Sentier, 75002 Paris. Rédacteur en chef : Daniel Ichbiah Maquette : Frédéric Peyrichou Iconographie : Nathalie Lasserre Relecture : Michelle Orsel Images numériques : Gilles Lot Ont collaboré à ce numéro : François Bliss de la Boissière, Bruno Ferret, Gilbert Canali, Cyril Fiévet, Gisèle Foucher, Delphine Gaston, Jacques Harbonn, le site Futura Sciences Publicité : Cauris Media, Vincent Leluc, tél. : 01 43 27 23 07. Gestion des abonnements : Fleurus Presse - TSA 90324 92898 NANTERRE Cedex 9. Suisse : Edigroup, tél. : 02 23 48 44 28. Belgique : Édigroup, tél. : 070 233 304. Réservé aux dépositaires et aux marchands de journaux : Destination Media, tél. : 01 56 82 12 06. Fax : 01 56 82 12 09. Directrice Marketing et Diffusion : Frédérique Nodé-Langlois : 01 56 79 36 13 f.nodelanglois@fleuruspresse.com Fabrication : Créatoprint, 06 71 72 43 16. Impression : Artigrafiche Boccia, Via Tiberio Claudio Felice, 7, 84 131 Salerno, Italie. Conditionnement : BRC, ZI du Bois de l’Épine, 10 avenue du Front-Populaire, 91130 Ris-Orangis. Commission paritaire : 0915 K 90540. Loi du 16 juillet 1949 sur les publications destinées à la jeunesse. Dépôt légal à parution Actionnaire : Héros et Patrimoine. Ce magazine est édité sous licence de la société anglaise Imagine Publishing Limited. Tous les droits d’utilisation liés à la licence, incluant le nom How It Works/ Comment ça marche, appartiennent à Imagine Publishing Limited et ne peuvent être reproduits, en partie ou dans leur intégralité, sans consentement préalable écrit et délivré par Imagine Publishing Limited. ©(2010) Imagine Publishing Limited. www.imagine-publishing.co.uk et les bruits Qu’est ce qu’un son musical ? Qu’est ce qu’un bruit ?... Qu’est ce qui différencie les deux ? Ils ont en commun deux éléments : une hauteur (grave ou aigu) et un volume. Ce qui les différencie est leur forme d’onde, laquelle peut être représentée sous forme d’un graphique dans de nombreux logiciels de traitement du son. En effet, si l’on se place au niveau de la physique, le son est caractérisé par la présence d’une variation de la pression dans l’air ambiant, qui donne naissance à une vibration. Et chaque son a une caractéristique qui lui est propre, qui permet à l’oreille de l’identifier en tant que tel : porte qui claque, écoulement de l’eau, flûte de Pan... C’est cette caractéristique que fait apparaîre la forme d’onde. Or, lorsque l’on « dissèque » les formes d’onde, on découvre un phénomène étonnant… Dans le cas d’un instrument de musique, le son est caractérisé par ce que l’on appelle un timbre qui est en gros, ce qui donne une identité à ce son. Un piano, une trompette, un violon ont chacun des timbres différents, clairement perceptibles à l’oreille. Une même note jouée sur l’un a une sonorité fort différente sur l’autre. Il en résulte des courbes d’ondes fort différentes d’un instrument à l’autre. Toutefois, dans le cas d’un instrument, un facteur entre en jeu : la courbe sonore est régulière. Si l’on joué un Ré sur une flûte, un orgue, une harpe, nous observons la Les sons musicaux même figure se répéter de très nombreuses fois sur le logiciel de traitement du son. Les ondes musicales se succèdent un très grand nombre de fois par seconde (ce que l’on appelle la fréquence) avec une même répétition d’un motif donné – un diapason par exemple donne une sinusoïde correspondant à un La à 440 Hz ou 440 vibrations par seconde. Et dans le cas d’une note précise, sa hauteur suit une logique mathématique : plus on va vers les aigus et plus la fréquence se multiplie par 2 très exactement, : 880 Hz pour le La immédiatement supérieur, 220 Hz, pour le La immédiatement plus grave, etc. Que se passe-t-il en revanche si nous brisons un carreau, tapons sur une caisse en bois, faisons tomber une chaîne ?... Sur le graphique du logiciel, nous voyons apparaître une courbe indistincte, dans laquelle il ne semble pas possible de discerner la moindre régularité... Il en est ainsi : les sons musicaux répondent à des courbes mathématiques régulières, et c’est d’ailleurs ce phénomène qui permet de reproduire des sons musicaux sur un synthétiseur. Les bruits quant à eux n’ont pas de régularité ! Dans ce numéro, nous étudions en détail les propriétés du son, de quoi amener une découverte ou rédécouverte de ce phénomène qui nous accompagne à chaque instant de l’existence. Dans quels éléments le son se propage-t-il le mieux et pourquoi ? Comment fonctionnent les appareils antibruit ? Qui fait le plus de bruit : un concert de rock ou le rugissement d’un lion ? Bien des surprises sont au rendez-vous… Daniel Ichbiah Rédacteur en chef

Table des matières de la publication Comment ça marche – Feuilleter le magazine – Fleurus Presse

Edito
Sommaire
Clins d'oeil
Actualités
L’interview du mois - Jean-Pierre Cornu
Technologie
Les nanofoods
Les jeux à détection de mouvements
Les hélicoptères télécommandés
La technologie de l'écran vert
Environnement
Les empreintes de la préhistoire
Le huitième continent
Les oiseaux-mouches & Les pluies de grenouilles
Les abeilles
Science
La puissance du son
Séismes : Pourrons-nous un jour les prévoir ?
Les vagues de chaleur
Espace
Mercure
Les trous noirs
La voile solaire IKAROS
Transport
Les moteurs extrêmes
Les deltaplanes & Les détonations dans un pot d'échappement
Les freins de vélos & Les essuie-glaces automatiques
Histoire
Les velums
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