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Les ventes de terrain dans les zones d’activités

Au total, en 2014, 11,57 ha ont été cédés sur Rennes Métropole à 23 entreprises sur les différentes zones d’activités (communales, intercommunales et communautaires), contre 12 ha en 2013. Les zones d’activités communautaires représentent les trois quarts des surfaces cédées (35% des projets). La surface moyenne vendue est d’environ 5 000 m2. La principale transaction a été enregistrée sur le parc d’activités communautaire de Mivoie- Le Vallon, à Saint-Jacques-de-la-Lande et Noyal- Châtillon-sur-Seiche. Elle concerne la construction du nouveau site du technicentre SNCF sur 3,38 ha.

CESSIONS PAR SECTEUR

3,17 hectares ont été vendus à des entreprises artisanales et de services.

8,25 hectares pour des entreprises du secteur de l’industrie et de la logistique.

1,48 hectare pour des entreprises tertiaires.

Un schéma métropolitain de l’économie sociale et solidaire

EN 2014, RENNES MÉTROPOLE A TRAVAILLÉ À L’ÉLABORATION DE SON PREMIER SCHÉMA MÉTROPOLITAIN DE L’ÉCONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE, ADOPTÉ EN JANVIER 2015.

Le schéma de développement de l’économie sociale et solidaire (ESS) métropolitain entend d’abord soutenir les multiples acteurs du secteur. Acteurs économiques, notamment, qui représentaient, en 2012, 26 577 salariés sur Rennes Métropole. La métropole a travaillé sur ce schéma en 2014, schéma qui s’intègre dans la stratégie de développement économique adoptée en mars 2013. Cette dernière est structurée autour de quatre axes : soutenir l’entreprenariat et le développement de la performance des entreprises, favoriser l’innovation productive sur le territoire, investir la scène internationale et renforcer l’intelligence territoriale. Dans le schéma, chacun de ces axes est décliné pour l’ESS.

Ce schéma se concrétise par un plan annuel d’actions. Parmi les trente initiées en 2015, la réponse à l’appel à projets national « Pôle territorial de coopération économique » autour de l’innovation sociale et des éco-activités (notamment l’écoconstruction). Autre action marquante, le lancement d’une étude pour créer Startijenn, un incubateur pour les projets de l’ESS du territoire. La métropole prévoit également de cibler une partie de ses aides à l’investissement vers les entreprises de l’ESS.

AJUSTEMENTS SUR LE VOLET COMMERCE DU SCOT

Le SCoT du pays de Rennes a été arrêté en janvier 2014. Tout au long de l’année, les avis des personnes publiques associées et les expressions au cours de l’enquête publique ont permis de recueillir un avis global sur les documents du schéma de cohérence territoriale. « C’est un projet très volontariste sur les dispositions commerciales, explique François Tresse, chargé de mission SCoT et Planification à Rennes Métropole. Les élus souhaitent installer prioritairement les commerces dans les centralités, au plus proche des habitants. » En 2014, les services ont” testé » les règles inscrites au document pour les confronter aux réalités du terrain et les adapter en vue de l’approbation du SCoT. « Il s’agit d’ajustements pour rendre les règles du volet commerce du ScoT plus efficientes », ajoute le chargé de mission.

LA COOPÉRATIVE BIOCOOP EST L'UN DES ACTEURS DE L'ÉCONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE DU TERRITOIRE, ICI LORS DE SES 30 ANS.

UN NOUVEAU DISPOSITIF POUR LE FUTUR CENTRE COMMERCIAL DE LA COURROUZE

Les petits centres commerciaux de quartier présentant parfois un déficit d’attractivité, le service Commerce- Tourisme de la métropole a proposé un dispositif innovant pour les futures cellules commerciales de La Courrouze. « Nous voulions nous assurer que toutes les conditions seraient réunies pour développer un pôle commercial attractif, précise Guillaume Batho, chargé de mission Commerce à Rennes Métropole. Nous avons cherché un opérateur qui a pour vocation d’acheter, de commercialiser, de gérer et d'animer l’ensemble des pieds d’immeuble. » Soit une surface de 3 600 m2. La société choisie, Urbanco, s’engage à rester, a minima, propriétaire des murs dix ans après la livraison du supermarché (soit au moins jusqu’en 2028) ; à installer une quinzaine de commerces et services de proximité (boulangerie, supermarché, pharmacie notamment), à proposer des niveaux de loyers adaptés selon l’activité et à revendre la surface d’un seul bloc. Afin que la collectivité contractualise avec un investisseurgestionnaire unique.



RAPPORT D’ACTIVITÉS ET DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2014 23