é tablissez une stratégie et lancez - vous directement ou reviendront à la banque qui l’emploie) . Dans ce cas il aura intérêt à vous conseiller ce qui rapporte le plus à lui, pas à vous . Si ce que vous payez explicitement n’est que la partie émergée de l’iceberg vos finances risquent de connaître le sort du Titanic . Ça ne veut pas forcément dire que les conseils seront mauvais, mais le doute persistera : votre conseiller a-t-il un conflit d’intérêts ? Le piège : des choix trop limités La situation est particulièrement épineuse avec un banquier, qui ne vous conseillera que ce que vend sa banque - que ça soit ou non ce qu’il y a de plus adapté à votre cas. Si vous avez cinq enfants et deux saint-bernards à transporter et que vous entrez chez un concessionnaire Smart, pensez-vous en ressortir avec une voiture adaptée à vos besoins ? Prenez le temps de réfléchir Si un banquier vous propose un certain placement, prenez le temps d’y réfléchir et ne signez rien immédiatement (à peu près le seul cas où on peut avoir à se presser est quand la législation est sur le point de changer et qu’il y a une date limite pour profiter des anciennes règles si elles sont plus favorables) . Combien de temps passez-vous à choisir du papier WC et combien de temps pour placer 10 000 € ? Faites le mauvais choix de placement et vous perdrez illico 500 € en frais d’entrée : combien de temps vous faudrait-il passer à comparer des prix pour économiser 500 € ? Si le montant du placement représente un quart de vos biens, relisez ce livre et demandez-vous si ce placement est adapté à votre situation et s’il est compétitif (pourriez-vous trouver mieux ailleurs ?) . Si le montant du placement correspond à la moitié de vos biens, relisez ce livre deux fois avant de donner une réponse . 225